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SOMMAIRE
Aponévrotomie ou fasciotomie : L’aponévrotomie et la fasciotomie sont deux interventions chirurgicales qui impliquent l'incision de membranes péri musculaires. L’aponévrotomie peut être réalisée pour diverses raisons chirurgicales, tandis que la fasciotomie concerne spécifiquement l'incision du fascia pour traiter des conditions d'urgence comme le syndrome des loges.
Bêta-hCG : La bêta-hCG (hormone chorionique gonadotrope humaine) est une hormone produite par les cellules du trophoblaste après la fécondation. Elle est détectée dans le sang ou les urines et constitue le marqueur principal des tests de grossesse. La bêta-hCG stimule la production de progestérone par le corps jaune, essentielle au maintien de l'endomètre et au soutien précoce de la grossesse.
- La bêta-hCG est détectable dans le sang environ 10 jours après la fécondation. Son taux double tous les 2 à 3 jours.
- 2- Diminution progressive : Après ce pic, le taux diminue et se stabilise autour de 10 000 à 30 000 mUI/ml jusqu'à la fin de la grossesse.
- 3- Pic de concentration (vers 8 à 10 semaines) : La bêta-hCG atteint son niveau maximal, souvent autour de 100 000 mUI/ml.
Les taux de bêta-hCG varient d'une femme à l'autre, et leur suivi est un indicateur utile pour évaluer la progression de la grossesse.
Bronchospasme : La contraction musculaire bronchique, ou bronchospasme, est un aspect essentiel de l'asthme. Elle est causée par une hyperréactivité bronchique en réponse à divers stimuli (allergènes, irritants, etc.).
Chaîne respiratoire mitochondriale : La chaîne respiratoire mitochondrial est un ensemble de complexes protéiques situés dans la membrane interne des mitochondries, les organites responsables de la production d'énergie dans les cellules. Son rôle principal est de produire de l'énergie sous forme d'adénosine triphosphate (ATP), la principale molécule d'énergie utilisée par les cellules. La chaîne respiratoire mitochondriale est donc un processus biochimique essentiel pour la vie cellulaire, responsable de l'essentiel de la production d'énergie dans l'organisme.
Corps jaune : Le corps jaune (ou corpus luteum) est une structure temporaire qui se forme dans l'ovaire après l'ovulation, à partir du follicule ovarien (= poche) qui a libéré l'ovule. Il joue un rôle crucial dans la phase lutéale (= phase après l’ovulation) du cycle menstruel. Le corps jaune produit principalement de la progestérone, hormone essentielle à la préparation de l'endomètre pour la nidation de l'embryon et au maintien de la grossesse en début de gestation. Si la fécondation n’a pas lieu, le corps jaune dégénère, ce qui conduit à une baisse de la progestérone et au déclenchement des menstruations.
Crises comitiales : Les crises comitiales sont des épisodes neurologiques paroxystiques résultant d'une activité électrique anormale et excessive des neurones dans le cerveau. Elles peuvent se manifester de diverses manières, y compris des convulsions, des pertes de conscience, des mouvements involontaires, ou des sensations anormales.
Cycle de Cori : le cycle de Cori joue un rôle essentiel dans le métabolisme énergétique, permettant de régénérer le glucose à partir du lactate, ainsi d'assurer un approvisionnement continu en énergie pour les muscles en activité. Cela se passe au niveau du foie qui « consomme » donc les lactates.
Cycle de Krebs : Le cycle de Krebs est une chaine de réaction enzymatique ayant pour fonction de produire de l’énergie (= ATP). L’ATP provient initialement de la glycolyse (=consommation du glucose) mais celle-ci produit des déchets. Le cycle de Krebs est là pour réutiliser ces déchets afin de créer en plus d’ATP. Toutefois cela nécessite de l’oxygène. En l'absence d'oxygène (hypoxie ou anoxie), le cycle de Krebs est inhibé, car le NADH ne peut pas être oxydé dans la chaîne de transport des électrons. Par conséquent, le pyruvate ne peut pas entrer dans le cycle de Krebs. Une autre chaine enzymatique s’active et produit un déchet : les lactates.
Dépolarisation : La dépolarisation est un phénomène électrique qui se produit dans les cellules excitables, comme les cellules nerveuses et musculaires, en particulier les cellules cardiaques. Elle correspond à une inversion transitoire du potentiel de membrane de la cellule, lorsque celle-ci passe d'un état de repos (où l'intérieur de la cellule est négatif par rapport à l'extérieur) à un état où l'intérieur devient temporairement plus positif. Cette inversion est due à l'entrée rapide d'ions sodium (Na⁺) ou calcium (Ca²⁺) dans la cellule. La dépolarisation est à l'origine du déclenchement d'un potentiel d'action, qui permet la transmission de signaux électriques, comme dans le cœur où elle initie la contraction des cellules cardiaques.
Diapédèse : La diapédèse est un processus clé du système immunitaire qui permet aux leucocytes de quitter la circulation sanguine pour se rendre à l'endroit de l'infection ou de l'inflammation afin de défendre l'organisme contre les agents pathogènes. Lorsqu'un agent pathogène ou un dommage tissulaire est détecté, des signaux chimiques, tels que des cytokines et des chimiokines, sont libérés. Ces signaux activent les cellules endothéliales qui tapissent les parois des vaisseaux sanguins. Les leucocytes circulant dans les vaisseaux sanguins sont attirés par ces signaux. Ils se lient aux molécules d'adhésion exprimées sur les cellules endothéliales (comme les sélectines et les intégrines). Une fois fixés aux cellules endothéliales, les leucocytes traversent la paroi des vaisseaux sanguins de façon acitve. Ce passage permet aux leucocytes de pénétrer dans les tissus où ils exerceront leur action immunitaire (phagocytose, réponse inflammatoire).
Diathèse hémorragique : La diathèse hémorragique désigne une prédisposition pathologique à des saignements anormaux ou excessifs, en réponse à des traumatismes minimes ou même en l'absence de toute blessure apparente. Cette condition résulte de troubles dans l’un ou plusieurs des trois mécanismes fondamentaux impliqués dans l’hémostase : Hémostase primaire et anomalies des plaquettes, trouble de la coagulation, anomalie des parois vasculaires.
Dyspnée : La dyspnée est définie médicalement comme une sensation subjective de difficulté respiratoire ou d'essoufflement. Elle n’est pas synonyme de détresse respiratoire ni même d’atteinte respiratoire. Elle reflète la sensation du patient de manquer d’oxygène. Elle est évaluée par de multiples échelles mais la plus connue et utilisée est la NYHA.
Enantiomères : Les énantiomères sont des molécules qui sont des images miroir l'une de l'autre, mais qui ne peuvent pas être superposées, même si elles sont chimiquement identiques à l'exception de leur disposition dans l'espace. Cette propriété résulte de la présence d'un carbone asymétrique ou stéréogène, un atome de carbone lié à quatre substituants différents, ce qui permet à deux structures différentes de se former. Ils sont souvent désignés par les lettres R et S, en fonction de leur configuration relative autour du carbone asymétrique. Par exemple, dans le cas de la kétamine, la forme S est responsable des effets analgésiques, tandis que la forme R contribue aux effets hallucinogènes.
Entéral : Le terme "entéral" se réfère à tout ce qui est lié au tube digestif, en particulier à l'administration de nutriments ou de médicaments par voie digestive. Cela inclut des méthodes telles que l'alimentation par sonde nasogastrique ou d'autres types de sondes introduites dans l'estomac ou l'intestin grêle. Cette approche est utilisée lorsque l'apport oral est impossible ou insuffisant, mais que le tractus intestinal reste fonctionnel
Gypsothérapie : C’est l’art de réaliser des plâtres. La gypsothérapie est une méthode thérapeutique utilisant des plâtres pour immobiliser des traumatismes musculo-squelettiques (fractures). Elle permet de stabiliser les segments osseux, de soulager la douleur et de favoriser la cicatrisation.
Hématose : L'hématose est un processus physiologique essentiel par lequel le sang veineux, chargé en dioxyde de carbone, est oxygéné au niveau des alvéoles pulmonaires pour devenir du sang artériel, riche en oxygène. Cette étape fondamentale de l'échange gazeux se déroule principalement dans les poumons et permet de maintenir une oxygénation adéquate des tissus de l'organisme.
Hémianopsie homonyme : C’est le trouble visuel le plus fréquent lors d’un AVC touchant les voies optiques centrales (par exemple, au niveau des radiations optiques ou du cortex occipital). Il se caractérise par une perte de vision dans la même moitié du champ visuel pour chaque œil (droite ou gauche). Par exemple, une lésion dans l’hémisphère droit peut causer une perte du champ visuel gauche dans les deux yeux. L'hémianopsie homonyme peut être complète (perte totale de la moitié du champ visuel) ou partielle, selon l’étendue de la lésion.
Hypoxie : L'hypoxie est une condition médicale définie par une insuffisance d'oxygène au niveau des tissus et des cellules de l'organisme, empêchant ces dernières de fonctionner normalement. Médicalement, elle résulte soit d'une diminution de la quantité d'oxygène disponible dans le sang artériel (hypoxémie), soit d'une altération de la capacité des cellules à utiliser l'oxygène. L'hypoxie peut affecter un organe spécifique (hypoxie régionale) ou tout l'organisme (hypoxie généralisée)
Idiopathique : En médecine, le terme idiopathique est utilisé pour qualifier une maladie, un trouble ou une condition dont l'origine ou la cause est inconnue ou non identifiable, malgré une investigation clinique approfondie.
Iatrogénie : La iatrogénie désigne l'ensemble des effets indésirables, complications ou troubles qui surviennent chez un patient à la suite d'une intervention médicale, d'un traitement ou d'une prise en charge médicale.
Ischémie mésentérique : L'ischémie mésentérique désigne une condition pathologique résultant d'une réduction ou d'une interruption du flux sanguin vers les intestins, entraînant une insuffisance de l'apport en oxygène et en nutriments nécessaires au bon fonctionnement des tissus intestinaux. Cette affection peut survenir à la suite de diverses causes, notamment l'athérosclérose, l'embolie ou la thrombose des artères mésentériques.
Ischémie : L'ischémie est caractérisée par une diminution ou une interruption localisée de l'apport sanguin dans un tissu, un organe ou une partie du corps, généralement due à l’occlusion ou l’interruption de vaisseaux sanguins en amont. Cette perte de flux sanguin prive les cellules d'oxygène et de nutriments essentiels, entrainant des lésions tissulaires réversibles ou, si elle persiste, une nécrose (mort cellulaire).
Loge aponévrotique : Une loge aponévrotique est définie comme tout espace cloisonné par des parois inextensibles (os, aponévroses) contenant un composant musculaire, accompagné d’éléments vasculonerveux
Mécanisme artériel pulmonaire : Le mécanisme artériel pulmonaire correspond à une modification de la vascularisation systémique intrathoracique avec la constitution d’une hypervascularisation systémique (HVS), se traduisant par une hypertrophie des artères bronchiques (augmentation de calibre et de longueur) réalisant un aspect pseudoangiomateux voire pseudo-anévrysmal.
Mélange racémique : Un mélange racémique désigne un mélange contenant des quantités égales de deux énantiomères d'une même molécule. Ces énantiomères sont des formes miroir l'une de l'autre, non superposables, mais ayant la même structure chimique à l'exception de leur orientation dans l'espace.
Mesure de la pression intramusculaire (PIM) : Cette mesure est effectuée par un moniteur de pression. Le plus couramment utilisé est un enregistreur de pression électronique miniaturisé, relié à une chambre de mesure à usage unique, nommé Stryker®. Il existe aussi un moniteur de pression plus récent et plus compact, nommé Compass Compartment Pressure. Ces mesures doivent initialement être réalisées au repos, en décubitus dorsal.
Métabolite : En médecine, un métabolite désigne un composé qui résulte des réactions chimiques au sein d'un organisme, notamment dans le cadre du métabolisme. Le métabolisme est l'ensemble des processus biochimiques qui se déroulent dans les cellules et qui permettent à un organisme de maintenir ses fonctions vitales, d'utiliser des nutriments, de produire de l'énergie et d'éliminer les déchets
Nécrose : La nécrose désigne la mort prématurée et irréversible des cellules ou des tissus, résultant généralement d'un traumatisme, d'une infection, d'une ischémie prolongée ou de tout autre facteur perturbant l'apport en oxygène et en nutriments. Elle se distingue de l’apoptose (mort cellulaire programmée).
Palpitations : Les palpitations désignent des sensations de battements cardiaques anormaux, souvent décrites comme des battements rapides, forts ou irréguliers. Ces sensations peuvent être ressenties dans la poitrine, la gorge ou le cou et peuvent survenir de manière sporadique ou persistante.
PeakFlow : le peak flow est un outil de mesure du débit expiratoire de pointe, c’est-à-dire la vitesse maximale à laquelle une personne peut expirer l'air après une inspiration profonde. Cet instrument est couramment utilisé dans la gestion de l'asthme et d'autres maladies respiratoires obstructives. Il permet aux patients de surveiller leur fonction pulmonaire à domicile, en détectant des variations qui pourraient indiquer une détérioration de leur état. La mesure du peak flow en milieu hospitalier aide également à évaluer la sévérité d’une crise d’asthme ainsi que l'efficacité du traitement.
Phagocytose : La phagocytose est un mécanisme biologique par lequel certaines cellules, appelées phagocytes (ou macrophages), englobent et digèrent des particules étrangères, des débris cellulaires ou des micro-organismes pathogènes. C'est un processus clé du système immunitaire inné, qui joue un rôle essentiel dans la défense de l'organisme contre les infections.
Pneumallergènes : Les pneumallergènes sont des substances ou particules présentes dans l'air qui, lorsqu'elles sont inhalées, déclenchent une réponse allergique au niveau des voies respiratoires. Ces agents, comme les pollens, les acariens, les moisissures ou les squames animales, provoquent une hypersensibilité immunologique, particulièrement chez les individus prédisposés. L'inhalation de pneumallergènes peut entraîner des symptômes comme la rhinite allergique, l'asthme, ou d'autres affections respiratoires, affectant la fonction pulmonaire.
Précordial : Le terme précordial se réfère à la région située à l'avant du thorax. En médecine, l'utilisation du terme "précordial" est courante pour décrire des symptômes ou des douleurs localisées dans cette région, souvent en rapport avec des affections cardiaques.
Progestérone : La progestérone est une hormone stéroïdienne sécrétée principalement par le corps jaune de l'ovaire après l'ovulation, et plus tard par le placenta pendant la grossesse. Son rôle principal est de préparer l'utérus pour la nidation de l'embryon et de maintenir la grossesse en favorisant un environnement utérin stable. Elle inhibe également les contractions utérines, ce qui empêche une expulsion prématurée de l'embryon. La progestérone est également impliquée dans la régulation du cycle menstruel et aide à préparer les glandes mammaires à la lactation en fin de grossesse.
Repolarisation : La repolarisation est le processus par lequel la cellule retourne à son potentiel de repos après la dépolarisation. Elle se caractérise par la sortie d'ions potassium (K⁺) hors de la cellule, ce qui rétablit la charge négative à l'intérieur par rapport à l'extérieur de la membrane. La repolarisation permet à la cellule de retrouver son état de repos, préparant ainsi une nouvelle dépolarisation et la poursuite du cycle électrique et contractile, notamment dans le cœur, où elle correspond à la phase de relaxation des cellules myocardiques.
Respiration de Cheyne-Stokes : C’est une respiration dite stéréotypée : la respiration est irrégulière cyclique pouvant survenir de jour comme de nuit, composée d’un arrêt respiratoire d’environ quinze secondes suivi d’une reprise des mouvements respiratoires devenant de plus en plus rapides puis diminuant graduellement jusqu’à une nouvelle apnée brève. Ce trouble respiratoire est observé dans l’urémie terminale (patient dyalisé), l’insuffisance cardiaque, les atteintes du tronc cérébral ou chez l’obèse.
Respiration de Kussmaul : Variété particulière de respiration pathologique, lente, régulière et profonde avec une pause en fin d'inspiration et en fin d'expiration. Elle se rencontre lors des états d’acidose métabolique (diabétique ou rénale) lorsqu’il existe une diminution du taux de bicarbonates.
Rhabdomyolyse : Elle correspond à une destruction ou dégradation du tissus musculaire. Celle-ci entraîne la libération de myoglobine et d'autres composants intracellulaires dans la circulation sanguine. Cela peut résulter de divers facteurs, tels que des traumatismes, une ischémie prolongée, des efforts physiques intenses, ou des intoxications.
Sibilances : Les sibilances (ou sibilants) sont des bruits respiratoires anormaux, aigus et musicaux, causés par un rétrécissement ou une obstruction partielle des voies aériennes, en particulier des bronches. Elles sont audibles lors de l'expiration, et fréquemment observées dans des pathologies telles que l'asthme ou la bronchite obstructive. Ces bruits résultent de l'écoulement turbulent de l'air à travers les bronches rétrécies, et leur présence est un signe clinique important dans le diagnostic des maladies respiratoires obstructives.
Signe de Froment : On demande au patient de tenir une feuille de papier entre le pouce et l’index. Lorsque l’on essaie de la retirer, si le patient pli l’articulation interphalangienne du pouce pour maintenir l’objet avec la pulpe du pouce, le signe est dit positif et témoigne d’une faiblesse du nerf ulnaire (compensé par le nerf médian). Si le patient est capable de maintenir l'objet sans fléchir l'articulation interphalangienne du pouce, cela indique que la fonction du nerf cubital est intacte
Syndrome de Volkmann : Le syndrome de Volkmann est une complication grave du syndrome des loges, caractérisée par une rétraction ischémique des muscles fléchisseurs de l'avant-bras. Il résulte d'une ischémie prolongée, souvent due à une compression excessive, comme celle induite par un plâtre ou un traumatisme non traité. Cliniquement, il se manifeste par une déformation en "griffes" irréductible de la main, avec flexion du poignet et des doigts. Sans intervention rapide, il peut entraîner des séquelles permanentes.
Syndrome post intervallaire : Le syndrome post intervallaire est une complication neuropsychique tardive de l'intoxication au monoxyde de carbone (CO). Il survient après une période initiale d'amélioration clinique, avec un délai d'apparition pouvant varier entre 2 et 40 jours (souvent autour de 3 semaines). Ce syndrome résulte de l'anoxie histotoxique, entraînant une démyélinisation de la substance blanche du cerveau.
Trophoblaste embryonnaire : Le trophoblaste est un ensemble de cellules qui forment la couche externe de l'embryon au stade précoce, après la fécondation. Il joue un rôle fondamental dans l'implantation de l'embryon dans l'utérus et le développement du placenta. Le trophoblaste se différencie en deux couches principales :
- le cytotrophoblaste : la couche interne, formée de cellules distinctes,
- le syncytiotrophoblaste : la couche externe, responsable de la production de l'hormone bêta-hCG et de l'invasion de l'endomètre pour établir la circulation materno-fœtale.
Wheezing : Le terme "wheezing" désigne un sifflement respiratoire caractéristique, généralement associé à une obstruction des voies respiratoires, souvent observé lors d'épisodes d'asthme ou d'autres affections respiratoires. Ce phénomène est causé par le passage de l'air à travers des voies respiratoires rétrécies, résultant en une vibration des tissus bronchiques. Bien que très poche (et souvent confondu), il diffère du terme sibilant par son caractère purement expiratoire. De plus, leurs origines diffèrent, la sibilant est une turbulence d’origine aérienne alors que le wheezing est un sifflement causé par la vibration de la paroi bronchique.